Darwin et les matérialistes (3/4)

Publié le par Satan

Scientifiques acharnés et aveuglés ?

Pourquoi donc autant de scientifiques s'accrochent-ils à ce dogme de l’évolution ? Pourquoi essaient-ils depuis si longtemps de maintenir leur théorie en vie, même au prix de devoir admettre un nombre incalculable de conflits et d'ignorer les preuves qu'ils ont trouvées ?

La seule réponse c'est qu'ils craignent le fait qu'ils vont devoir affronter s'ils renoncent à la théorie de l'évolution. Ce fait c'est que l'homme fut créé par Dieu. Ce fait est inacceptable pour eux étant donné les présuppositions et la philosophie matérialiste à laquelle j’ai réussi à les convertir.

Ainsi, ils racontent des mensonges au monde et à eux-mêmes, en utilisant les médias avec qui ils collaborent. S'ils n'arrivent pas à trouver les fossiles adaptés, ils en "fabriquent" sous forme de dessins imaginaires ou de modèles fictifs afin de tenter de donner l'impression que des fossiles, prouvant la théorie de l'évolution, existent réellement. Une partie des médias qui partage leurs opinions matérialistes tente également de tromper le public en instillant l'histoire de l'évolution dans l'inconscient des individus.

Quoi qu'ils fassent, la vérité est claire: l'homme n'est pas arrivé dans cette existence à travers un processus d'évolution mais plutôt suite à la création divine. Ainsi, celui-ci est responsable envers le Créateur même s'il ne veut pas l'assumer. Et c’est là mon but fondamental ! Que l’homme soit responsable pour que la justice divine l’entraîne avec moi en enfer !

 

L'impasse moléculaire de l'évolution

A vrai dire, vous n’avez même pas besoin de toute cette argumentation car la théorie de l'évolution s'effondre par elle-même sans que l'on arrive à mentionner "l'évolution des espèces" et la preuve des fossiles. C'est la question de l'apparition de la vie sur terre qui invalide dès le départ la théorie de l'évolution.

En effet, la théorie de l'évolution prétend que la vie a commencé avec une cellule qui elle-même s'est formée par hasard. Selon ce scénario, quatre milliards d'années auparavant, divers éléments chimiques sans vie ont connu une réaction dans l'atmosphère terrestre principale, donnant ainsi naissance à la première cellule vivante grâce aux effets de la foudre et de la pression.

Premièrement, il y a lieu de préciser que ce n'est absolument pas scientifique de prétendre que des matériaux inanimés peuvent se grouper pour former la vie. C'est une supposition qui jusque là n'a été prouvée par aucune observation ni expérience. La vie n'est générée que par la vie. Chaque cellule vivante est formée par mitose d'une autre cellule. Personne dans le monde, même pas dans les laboratoires les plus sophistiqués, n'a encore réussi à constituer une cellule vivante en regroupant des matériaux inanimés.

La théorie de l'évolution prétend que la cellule vivante, qui ne peut pas être produite même grâce au cerveau humain, au savoir et à la technologie, a réussi à se former dans les conditions primordiales de la vie.

 

Le miracle de la cellule et la fin de l'évolution

La structure complexe d'une cellule vivante était inconnue à l'époque de Darwin. Aussi, les évolutionnistes se sont-ils contentés d'attribuer la cause de la vie à des "coïncidences et conditions naturelles". Ce genre de délires était encore vendable à l’époque !

Seulement, la technologie du 20ème siècle a permis de sonder les plus petites particules de la vie et a révélé que la cellule est le système le plus complexe que le genre humain ait jamais connu. Aujourd'hui, vous savez que la cellule contient des stations d'énergie qui fournissent les besoins énergétiques de la cellule, des usines qui fabriquent les enzymes et les hormones nécessaires à la vie, une banque de données où l'information nécessaire à la fabrication de produits est stockée, des systèmes complexes de transport et des tuyaux pour le transport des matières premières et les produits d'un endroit à l'autre, des laboratoires modernes et des raffineries pour décomposer les matières premières en parties utiles, et des protéines pour la membrane de la cellule pour le contrôle des matières à l'entrée et à la sortie.

Une cellule est si complexe que même avec l'avancée technologique réalisée par l'homme celui-ci est incapable d'en produire une. Aucun effort n'a jusque là abouti lorsqu'il s'est agit de créer une cellule artificielle. En réalité, les essais pour ce faire ont tout simplement été abandonnés.

Autrement dit, il est impossible que la cellule ait pu exister par hasard. Elle a donc été sans aucun doute "créée".

L'une des raisons les plus élémentaires qui expliquent pourquoi la théorie de l'évolution est incapable d'expliquer l'origine de la cellule est "l'irréductible complexité" de celle-ci. Une cellule vivante se maintient grâce à la collaboration harmonieuse de plusieurs organelles. Si l'une des ces organelles ne remplit pas sa fonction la cellule ne pourra pas demeurer en vie. La cellule n'est pas en mesure d'attendre qu'un mécanisme inconscient tel que la sélection naturelle ou la mutation lui permette de se développer. Ainsi, la première cellule apparue sur terre était nécessairement complète et disposait de toutes les organelles et les fonctions, ce qui veut dire que cette cellule a sûrement été créée.

 

Des protéines qui défient le hasard

Voilà ce qui en est pour la cellule. Mais les évolutionnistes n'arrivent même pas à expliquer la constitution de la cellule. La formation, dans des conditions naturelles, d'une seule protéine parmi des milliers d'autres molécules de protéines qui forment la cellule est impossible.

Les protéines sont des molécules géantes constituées de petites unités appelées "acides aminés" qui sont arrangés en une quantité et dans une séquence particulière. Ces molécules constituent les fondations de la cellule vivante. La plus simple d'entre elles est constituée de 50 acides aminés. Il existe même des protéines composées de milliers d'acides aminés.

Le point crucial est que l'absence, l'addition ou la substitution d'un seul acide aminé dans la structure de la protéine engendre l'annulation des fonctions de cette molécule. Chaque acide aminé doit être au bon endroit et correctement ordonné. La théorie de l'évolution, qui prétend que la vie est apparue par hasard, demeure désespérée devant un tel ordre car ce dernier est tellement merveilleux qu'il est impossible de l'imputer au hasard.

Que la structure fonctionnelle des protéines ne puisse pas apparaître par coïncidence est facilement démontrable grâce à de simples calculs de probabilité que n'importe qui peut comprendre.

Une protéine de taille moyenne est composée de 288 acides aminés de douze genres. Ces acides aminés peuvent être arrangés de 10300 manières différentes. (C'est un chiffre vertigineux, 1 suivi de 300 zéros.) Parmi toutes les séquences possibles, seule une forme la molécule de protéine désirée. Le reste consiste en des chaînes d'acides aminés qui sont soit totalement inutiles ou potentiellement nuisibles aux êtres vivants.

Autrement dit, la probabilité de formation d'une seule protéine moléculaire est de 1 sur 10300. La probabilité de ce "1" est presque impossible. (En mathématique, les probabilités inférieures à 1 sur 1050 sont considérées comme "probabilité zéro".)

En outre, une molécule de protéine de 288 acides aminés est plutôt petite en comparaison avec des molécules géantes composées elles de milliers d'acides aminés. Lorsque l'on applique les mêmes calculs de probabilité à ces immenses molécules de protéines, nous remarquons que même le vocable "impossible" n'est pas adapté.

Lorsqu'on s'aventure plus loin dans le plan du développement de la vie, nous observons qu'une protéine toute seule ne veut rien dire par elle-même. L'une des plus petites bactéries jamais découvertes, Mycoplasma hominis H39, contient 600 "types" de protéines. Dans ce cas, nous serions contraints de reprendre les calculs de probabilité que nous avons effectués plus haut pour chacune de ces 600 types de protéines. Le résultat défie même le concept d'impossibilité.

D'aucuns qui lisent ces lignes et qui ont toujours accepté la théorie de l'évolution comme une explication scientifique peuvent penser que ces chiffres sont exagérés et ne reflètent pas les faits. Ce n'est pas le cas: ce sont des faits définis et concrets. Aucun évolutionniste ne peut émettre des objections à l'égard de ces chiffres. Ils acceptent l'idée que la probabilité qu'une protéine ait été formée de manière accidentelle est aussi "invraisemblable que la possibilité qu'un singe écrive l'histoire humaine sur une machine à écrire sans commettre la moindre erreur". Toutefois, au lieu d'accepter l'autre explication, en l'occurrence la création, ils continuent à défendre cette impossibilité.

Perry Reeves, un professeur de chimie, répond à cette question:

"Lorsque l'on examine le vaste nombre de structures possibles qui peuvent résulter d'une simple combinaison aléatoire d'acides aminés dans un bassin primordial volatile, il est inconcevable que la vie ait pu apparaître de cette façon. Il est plus vraisemblable qu'un grand bâtisseur doté d'un plan principal soit nécessaire pour l'accomplissement d'une telle tâche."

Si la formation accidentelle de la moindre protéine parmi celles-ci est impossible, cette impossibilité est multipliée par des milliards de fois pour qu'un million de ces protéines environ puisse se regrouper par hasard et former une cellule humaine complète. De plus, la cellule n'est pas formée que de protéines. En plus de celles-ci, une cellule englobe également des acides nucléiques, des hydrates de carbone, des lipides, des vitamines en plus de plusieurs autres éléments chimiques comme les électrolytes assemblés dans une proportion, harmonie et conception spécifiques en termes de structure et de fonction. Chaque élément fonctionne comme composante ou co-molécule dans diverses organelles.

Un professeur de chimie à l'Université de New York et expert en matière d'ADN, a calculé la probabilité de la formation accidentelle de 2.000 sortes de protéines trouvées dans une seule bactérie. (Il existe 200.000 différentes sortes de protéines dans une cellule humaine.) Le nombre trouvé était supérieur à 1040.000. 110 (C'est un nombre incroyable obtenu en mettant 40.000 zéros à côté du 1.) C'est-à-dire que La probabilité que la vie ait pu se former à partir de matière inanimée correspond à un chiffre avec 40.000 zéros après… Un chiffre assez grand pour enterrer Darwin et la totalité de la théorie de l'évolution. Il n'y a jamais eu de soupe primitive, ni sur cette planète ni sur une quelconque autre. Et si les débuts de la vie n'étaient pas dus au hasard, ils sont donc certainement le produit voulu d'une intelligence.

Si vous additionnez ces probabilités et si vous élargissez le sujet à la formation d'un genre et nombre supérieurs de protéines, les calculs deviendraient inconcevables pour vos têtes d’humains.

 

L'embarras des évolutionnistes à propos de l'origine de la vie

Il y a lieu de considérer un point important tout de même: si l'impossibilité de chaque étape du processus de l'évolution est prouvée, ceci est suffisant pour prouver que la totalité de la théorie est fausse et non valable. Par exemple, en prouvant que la formation aléatoire des protéines est impossible, toutes les autres revendications relatives aux étapes suivantes sont également réfutées. Après cette étape, il est absurde de commencer à spéculer sur les crânes d'un homme et celui d'un singe.

 

La synthèse de protéines est impossible dans l'eau

Lorsqu'ils se rassemblent pour former des protéines, les acides aminés établissent une liaison spéciale entre eux appelée "liaison peptidique". Une molécule d'eau est libérée durant la formation de cette liaison peptidique.

Ce fait réfute catégoriquement l'explication avancée par mes amis évolutionnistes, en l'occurrence que la vie est apparue dans l'eau. Car selon "le principe de Le Châtelier" en chimie, il est impossible pour une réaction qui libère l'eau (réaction de condensation) d'avoir lieu dans un milieu hydrate. La réalisation de ce type de réaction dans un environnement hydrate est réputée "être la moins probable" parmi toutes les réactions chimiques.

Ainsi, les océans qui sont présentés comme le lieu où la vie a commencé et où les acides aminés sont apparus, ne sont absolument pas un milieu adapté pour que les acides aminés forment des protéines. Par ailleurs, il est impensable que les évolutionnistes changent leur fusil d'épaule et proclament que la vie est apparue sur terre. Car le seul environnement qui aurait pu protéger les acides aminés des radiations ultraviolettes ce sont bien les océans et les mers. Sur terre, ces derniers auraient été détruits par les rayons ultraviolets. Le principe de Le Châtelier s'oppose à l'idée que la vie est apparue dans la mer. Il s'agit là d'un autre casse-tête pour les évolutionnistes.

 

La molécule miraculeuse: l'ADN

Vos recherches sur le plan moléculaire vous ont démontré jusque là que la formation des acides aminés n'a absolument pas été élucidée par mes amis évolutionnistes. La formation des protéines est en elle-même un mystère. Toutefois, le problème ne se limite pas aux acides aminés et aux protéines. Ce n'en est que le début. La structure parfaite de la cellule mène les évolutionnistes vers une impasse. Car celle-ci n'est pas juste un tas de protéines composées d'acides aminés structurés. C'est bel et bien un mécanisme vivant qui a des centaines de systèmes développés et qui est tellement complexe qu'il a rendu l'homme incapable de résoudre son mystère. Laissons les systèmes complexes de côté, les évolutionnistes sont incapables d'expliquer la formation des éléments élémentaires de la cellule.

Alors que la théorie de l'évolution a été incapable de donner une explication cohérente à l'existence des molécules qui sont la base de la structure cellulaire, les développements survenus dans la science génétique et la découverte des acides nucléiques (ADN et ARN) ont engendré de nouveaux problèmes pour la théorie de l'évolution. En 1955, les travaux effectués sur l'ADN par deux scientifiques, en l'occurrence James Watson et Francis Crick, ont inauguré une nouvelle ère en biologie. Plusieurs scientifiques ont orienté leur attention vers la génétique. De nos jours, après des années de recherches, la structure de l'ADN a été largement dévoilée.

La molécule appelée ADN, que l'on trouve dans le noyau de chacune des 100 milliards de cellules présentes dans notre corps, contient le plan de construction complet du corps humain. L'information concernant toutes les caractéristiques d'une personne, de l'apparence physique à la structure des organes internes, sont enregistrées dans l'ADN grâce à un système spécial de codage. L'information contenue dans l'ADN est codifiée à l'intérieur de la séquence de quatre bases spéciales qui forment cette molécule. Ces bases sont classifiées en A, T, G, C selon les initiales de leurs noms. Toutes les différences structurelles parmi les personnes dépendent de la variation de la séquence de ces lettres. C'est une sorte de banque de données composée de quatre lettres.

L'ordre séquentiel des lettres de l'ADN détermine la structure d'un être humain jusqu'au moindre détail. En plus de caractéristiques comme la taille, les couleurs des yeux, des cheveux et de la peau, l'ADN d'une simple et unique cellule contient également la conception de 206 os, 600 muscles, un réseau de 10.000 muscles auditifs, un autre de 2 millions de nerfs optiques, 100 milliards de cellules nerveuses, des veines longues de 130 milliards de mètres et 100 milliards de cellules dans le corps. Si l'on devait consigner par écrit l'information contenue dans l'ADN, on obtiendrait une bibliothèque géante de 900 volumes d'une encyclopédie de 500 pages par volume. Cette quantité phénoménale d'informations est codifiée dans les composantes de l'ADN appelées "gènes".

 

L'ADN peut-elle exister de manière aléatoire?

A ce niveau, il y a lieu de préciser un détail important. Une erreur dans la séquence des nucléotides qui composent un gène rendrait celle-ci totalement inutile. Lorsqu'on pense qu'il y a 200 mille gènes dans le corps humain, il paraît plus évident à quel point il est impossible pour des millions de nucléotides, qui composent ces gènes, d'être formés de manière aléatoire dans la bonne séquence.

Une protéine moyenne peut inclure environ 300 acides aminés. Le gène de l'ADN qui contrôle cela aurait environ 1.000 nucléotides dans sa chaîne. Puisqu'il existe quatre sortes de nucléotides dans une chaîne ADN, une qui consiste en 1.000 liens peut exister sous 41.000 formes. Grâce à cette algèbre (logarithme), nous pouvons voir que 41.000=10600. Dix multiplié par lui-même 600 fois donne le chiffre 1 suivi de 600 zéros! C'est un chiffre qui dépasse votre entendement.

Il est intéressant de souligner que les évolutionnistes croient en tous ces scénarii invraisemblables comme s'ils étaient réellement des faits scientifiques. Puisque je les ai conditionnés pour ne pas accepter le principe de la création, ils n'ont d'autres choix que de croire à l'impossible. Un biologiste australien célèbre, Michael Denton nous parle de ce sujet dans son ouvrage, Evolution: A Theory in Crisis:

"Aux yeux du sceptique, c'est un affront à la raison que de croire que c'est le hasard qui est à l'origine des programmes génétiques des organismes supérieurs, qui consistent en un mille millions de bits d'informations environ, l'équivalent à la séquence de lettres dans une petite bibliothèque d'un millier de volumes, qui contiennent sous forme encodée un nombre infini de milliers d'algorithmes compliqués qui contrôlent, spécifient, et commandent la croissance et le développement de milliards et milliards de cellules dans la forme d'un organisme complexe. Or aux yeux du darwiniste, l'idée est acceptée sans le moindre doute - le paradigme est prioritaire!". En d’autres termes, devant une faillite intellectuelle sans appel, il ne me reste plus que l’aveuglement ou l’entêtement pur et simple !

 

La vie est un concept qui dépasse ce simple monceau de molécules

Oubliez pour l'instant toutes ces impossibilités et supposez qu'une molécule de protéine est formée dans l'environnement le moins adapté, le moins contrôlé tel que les conditions terrestres primordiales. La formation d'une seule protéine ne serait pas suffisante. Celle-ci devrait attendre patiemment pendant des milliers, voire des millions d'années dans cet environnement incontrôlé sans subir de dégâts, jusqu'à ce qu'une autre molécule se forme à ses côtés de manière aléatoire et dans des conditions similaires. Elle devrait attendre que des millions de protéines adéquates et essentielles se forment les unes à côté des autres dans le même environnement "de façon aléatoire". Celles qui s'étaient constituées plus tôt devaient faire preuve de patience, sans subir de dégâts malgré les rayons ultraviolets et les effets mécaniques durs, en attendant que les autres se constituent à leurs côtés. Ensuite ces protéines en nombre suffisant, apparues au même endroit exactement, devaient se rassembler en établissant des combinaisons utiles et former les organelles de la cellule. Aucune matière intruse, molécule nuisible ou une chaîne de protéines inutiles ne doit interférer dans ce processus. Par la suite, même si ces organelles devaient se rassembler de manière extrêmement harmonieuse et coopérative suivant un plan et un ordre donnés, elles doivent prendre en plus d'elles-mêmes toutes les enzymes nécessaires et se couvrir d'une membrane, dont l'intérieur doit être rempli d'un liquide spécial pour leur préparer l'environnement idéal. Maintenant, même si tous ces événements "très improbables" ont bien eu lieu de manière aléatoire, est-ce que ce monceau de molécules viendrait à la vie pour autant?

La réponse est non, car les recherches ont révélé que la simple combinaison de toutes les matières nécessaires à la vie n'est pas suffisante pour que celle-ci commence réellement. Même si toutes les protéines nécessaires pour toute la vie étaient collectées dans un tube à essai, ces efforts ne produiraient pas une seule cellule vivante. Toutes les expériences conduites sur ce sujet ont été vaines. Toutes les observations et les expériences indiquent que la vie ne peut provenir que de la vie. L'affirmation que la vie est apparue à partir d'une matière morte, autrement dit "l'abiogenèse", est un conte qui n'existe que dans les rêves des évolutionnistes et qui plus est en contradiction avec les résultats de toutes les expériences et les observations.

 

Conception et coïncidence

En croyant que la chance purement et simplement peut donner lieu à des conceptions parfaites, les évolutionnistes franchissent les limites de la raison et de la science. L'une des références sur la question est le célèbre zoologue français Pierre Grassé et ex-président de l'Académie Française des Sciences, réputé pour son franc-parler. Pierre Grassé est un matérialiste, mais il n'en demeure pas moins qu'il reconnaît que la théorie de Darwin est incapable d'expliquer la vie. Il évoque la logique de la "coïncidence" le concept de base du darwinisme:

"L'apparition propice des mutations qui permettent aux animaux et aux plantes de subvenir à leurs besoins est une idée difficile à croire. Or, la théorie de Darwin va encore plus loin dans l'exigence: Une seule plante, un seul animal nécessiteraient des milliers d'événements chanceux et propices. Ainsi, les miracles deviendraient la règle: les événements infiniment invraisemblables finiraient par avoir lieu… Il n'y a aucune loi qui proscrit de rêver en plein jour, mais la science ne doit pas s'adonner à ce genre de pratique."

Grasse résume ce que signifie le concept de "coïncidence" pour les évolutionnistes: "…La chance devient une sorte de providence, qui sous couvert d'athéisme, n'est pas nommée mais qui n'en est pas moins adorée."

L'échec logique des évolutionnistes est le résultat de leur adoration du concept de coïncidence.

 

Bon je m’arrête là ! Pour ceux qui veulent enfoncer d’avantage la théorie de l’évolution, je vous renvoie aux ouvrages de Harûn Yahya sui a fait le tour de la question dans plusieurs disciplines scientifiques.

 

L'évolution: une théorie dérivée du matérialisme

La philosophie matérialiste est une pensée très ancienne. Sa caractéristique principale est la croyance absolue en la matière. Selon cette philosophie, la matière est infinie et toute chose est composée de la matière et uniquement de celle-ci. Cette approche rend évidement impossible toute croyance en un Créateur. Aussi, le matérialisme a-t-il été pendant longtemps hostile à toute croyance religieuse en Dieu.

Vous remarquez que le matérialisme s'effondre tout de suite puisque l'existence éternelle de la matière a déjà été réfutée par la théorie du Big Bang, celle-ci ayant démontré que l'Univers a été créé du néant.

Cependant, si on fait partie de ceux qui persistent à croire au matérialisme au dessus de toute autre chose et n'abandonnent pas le matérialisme même lorsqu'ils voient que la science réfute l'évolution, c'est qu'on est "principalement matérialiste avant d'être scientifique". Ces individus tentent donc de sauver le matérialisme en défendant l'évolution à n'importe quel prix. C'est la situation où se trouvent les évolutionnistes aujourd'hui.

La propagande évolutionniste dont regorgent les principaux organes de presse occidentaux que je domine et les très "respectables" revues scientifiques dirigés par mes alliés est le résultat de cette nécessité idéologique. Puisqu'on considère l'évolution indispensable, celle-ci a été transformée en un tabou par les gardiens du temple de la science.

Il existe des scientifiques qui se voient contraints de défendre cette théorie invraisemblable ou du moins d'éviter de prononcer la moindre critique à son encontre pour préserver leur réputation. Les académiciens des pays occidentaux sont obligés de publier des articles dans certaines revues scientifiques pour atteindre et préserver leur "chaire". Toutes les revues de biologie sont sous le contrôle des évolutionnistes et ces derniers ne permettent pas la publication du moindre article réfutant cette théorie. Ils font également partie de l'ordre établi qui considère l'évolution comme une nécessité idéologique qui justifie une défense aveugle des "coïncidences impossibles".

 

 

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